Les rougon-macquart, tome 15 : La Terre
Auteur Émile Zola
Édition Pocket - Collection Lire et voire les classiques
Genre Classique
Pages 568
Année de parution 1887
Mon avis
Si j'ai choisis ce poche, c'est grâce aux avis positifs des chaînes Nabolita et Mimslit à chaque fois qu'elles parlaient des livres d'Émile Zola, ça me donnais envie de les découvrir.
Cette couverture avec ce mélange de texte et d'images ne me plais pas, même si cela donne un côté qui chance des couverture ordinaires, je préfère celle de la collection Folio.
J'étais heureuse de faire la connaissance de Jean, je le trouvais sympathique et serviable. J'aimais bien en apprendre plus sur lui, sur sa vie aussi. Je m'inquiétais beaucoup pour lui.
Par la suite, Françoise m'avais énormément marquée par son comportement à être déterminée, pour obtenir ce qu'elle voulais.
Souvent j'étais choquée et surprise par certains passages désagréables, mais aussi par plusieurs comportements qui étaient plus que irrespectueux, incompréhensibles, déplacés et horribles.
Au milieu de ce roman, il y avait 4 pages de papier glacé, contenant pleins de peintures, de photographies en couleur ou en noir et blanc au tour de l'univers de cette histoire. La seule qui m'a retenue était l'œuvre de Millet, qui met en avant deux payants. Même si la palette de couleur est sombre, j'adore la contempler, elle est magnifique et naturelle.
Au début ma lecture c'est bien passé j'étais à fond dedans, je le lissais ce livre un peu partout : dans mon lit, dans le jardin, sur ma chaise face au paysage, en attendant mon bus, dans un couloir, dans une salle d'attente. J'enchaînais les pages tellement c'était passionnant et intéressant.
C'est à partir de la deuxième partie que tout à changé : il n'y avait plus ce bonheur de lire, je m'ennuyais, je ne comprenais plus ce que je lissais, je m'ennuyais, j'étais devenue distraite et tout les texte étaient devenue longs. Je savais pas pourquoi finalement je lissais ce livre.
D'un côté j'avais envie de continuer à le lire, mais ça ne passé plus du tout, j'ai quand même tenue jusqu'à la Pages 198 et j'ai délaissé cet ouvrage le temps de me concentrer sur pleins d'autres livres. Je penser le rendre à la bibliothèque sans l'avoir finit, se qui ne c'est pas produit grâce au confinement.
Un soir par curiosité j'ai repris cette lecture et là surprise je me perds à nouveau dedans comme au tout début. J'avais du mal à résister à l'envie de tourner les pages, alors que je devais essayer de dormir.
Je pense que c'est l'une des lectures qui ont le plus durées par rapport à certaines qui m'ont pris beaucoup moins de temps.
Il y a Germinale dans ma pile à lire, pour le moment cela ne me tente pas, mais on ne sait jamais.