Suuuper Barbotte
Auteur Geneviève Guilbault
Édition Hachette - Collection Mon big
Genre Jeunesse
Pages 358
Prix 9,90 euros
Année de parution 2017
Mon avis
Cela fait des années que ce livre dors dans ma pile à lire. Je l'ai enfin réveillé car j'avais envie d'une lectures impale et qui se passe dans l'eau.
En plus a l'heure vous verrez ces quelques lignes on sera déjà en été, donc cela tombe bien.
J'adore cette couverture qui respire la fraîcheur et l'originalité.
J'aurai trop voulu voire à quoi ressemble la Rue des Lilas. Dès que j'ai lu le nom de cette rue, je l'ai imaginé avec toute une série de maison blanches, mauves et noires, avec pleins de lilas communs.
J'appréciais découvrir l'environnement dans lequel vit Barbotte.
Il y a un seul personnage que je supportais pas : Eliott. Depuis quand tu jettes ton poisson dans les toilettes ! Une fois ma lecture terminée, j'ai lu le résumé sur l'application Gleeph, ce geste est fait par erreur, alors que pas du tout, c'était voulu quand même.
La présence de Raie-Monde, m'a plu directement mais au fil des pages elle devenais très lourding et naïve au possible.
C'était plaissant de découvrir l'étendue et tous ceux qui peuple l'océan, c'était magnifique à imaginer. Si j'aurai su, j'aurai mis une musique d'ambiance en fond sonore.
Au milieu des aventures de Barbotte et de son ami Momo, je suis tombée sur une référence spéciale Marvel. Sur le coup j'étais trop contente, en plus je ne m'y attendais pas du tout.
Parcontre c'est quoi cette fin ! Pourquoi avoir coupé l'histoire ainsi'! Qu'est ce qui est arrivé à Barbotte et Momo, le mystère total. C'est frustrant !
J'ai passé un agréable moment de lecture. C'était passionnant, divertissant. Barbotte et Momo me faisaient un peu penser à Bob l'éponge et son pote Patrick qui a eux seuls arrivent à rendre chaque instant mouvementé et délirant.
Même si ce livre est destiné aux enfants, j'adore en lire de temps en temps. C'est toujours de chouettes histoires, originales, rigolotes, qui font sourire et qui redonnent le moral.
Malheureusement, je n'en ai plus dans ma pile à lire, c'était le dernier.