La ville orpheline
Auteur Victoria Hislop
Édition La loupe
Genre Historique
Pages 663
Prix 20 euros
Année de parution 2016
"Les orangers qui bordaient les rues conduisant à la place ployaient sous les fleurs blanches, qui embaumaient l'atmosphère de leur parfum sucré." (page 148)
Mon avis
Il n'y a pas longtemps, j'ai vu et revu plusieurs fois différents romans de Victoria Hislop dans divers magasins. J'ai me suis procurer Cartes Postales de Grèce, que j'ai hâte de lire.
Alors quand j'ai vu toute une série de livre de cette même autrice sur l'une des étagères à la bibliothèque, j'étais surprise et je n'en revenais pas.
Cette couverture est juste magnifique. C'est cette couleur que j'ai retrouver sur les tranches de quelques livre, c'est cet élément qui m'a poussé à emprunter ce premier et ce deuxième volume. Je ne cessais de la contempler ce paysage.
La première page à fait ma joie car elle contenait une carte de Chypre. J'aimais bien m'y rendre au milieu de ma lecture pour me permettre d'avoir un peu plus de repères géographiques.
Suivre les intrigues d'Aphroditi et Savva Papacosta était passionnant et leur présence était agréable. Le prénom de cette première m'a retenue, je le trouvais original et j'ai fais directement le rapprochement avec à la déesse de l'amour : Aphrodite.
J'appréciais pleins de personnages secondaires, mais celui qui m'a le plus marquait était Vasilis qui s'occupais de tous les orangers et oliviers. Découvrir d'avantages ses travaux m'interessais.
Les descriptions de Famagouste étaient souvent très belles, cela me permettait de découvrir cette station balnéaire. Malgré ce côté sombre qui se dessinait petit à petit, j'avais envie d'y être.
Même si au début j'ai pris beaucoup de temps pour me perdre dedans, que j'étais distraite, que j'avais du mal à savoir qui était qui et à qui appartenait tel dialogue, je trouvais cette lecture prenante, passionnante et un peu mouvementée.
Tout le contenue était confortable à lire car sa taille était plus grande que tout autre livre en général.
Dans ce deuxième volume, les différents personnages étaient les même que dans le premier volume, mais je ne me suis pas attachait à eux. Finalement il y avait que ceux d'Aphroditi et Vasilis qui ont continué à me marqué. Celui de Savvas m'a déplus par ses réactions, ce n'était pas la première fois.
Cet terrible événement, cette ambiance froide, sombre, grise et noire à Famagouste, qui prenait beaucoup d'empleure m'a souvent choquée. Cela m'étais parfois difficile à lire.
C'était dommage que la carte de Chypre soit absente au début de ce livre, parce que c'était pratique d'avoir un repère sur les différents lieu géographiquement. Je n'avais pas le premier volume avec moi quand j'ai commençais à le lire.
A plusieurs reprises je m'étais perdue dans les différentes intrigues facilement et en peu de temps. J'avais du mal à m'en détacher. La fin de cette lecture prenante, mouvementée, intéressante, passionnante et confortable à lire est arrivait trop vite à mon goût.
J'appréciais toujours autant cette couverture, mais j'interpretais sa belle couleur autrement après cette lecture.
La ville orpheline m'a tellement plu, que j'ai hâte de lire tous les autres oeuvres de Victoria Hislop.