Elle

Auteur Pierre Aguétant et André Zwingelstein

Édition Alsatia

Genre Contemporain 

Pages 224

Année de parution 1938

Mon avis

J'ai trouvé ce roman dans une boîte à livres. Je n'ai pas hésité à le prendre grâce à son titre que je trouve simple et classe à la fois. Ça faisait très longtemps que je voulais lire un livre qui aurait comme titre Elle. 

Je suis quand même choquée par l'état des pages qui sont coupées grossièrement, sans patience, les pages et la tranche sont déchirées. 

En très peu de temps, je me suis attaché à Geneviève que je trouvais sympathique et très mystérieuse. C'est grâce à elle que la nature avais d'avantage de place dans ce livre et elle apportait un petit vent de douceur. Lorsqu'elle travaillait au marché en tant que vendeuse de fromage, j'avais une forte envie d'en manger. Quand cette première n'était pas là, cela faisait un vide. Cette lecture devenait moins agréable à lire. Sa présence est tellement importante. Quand c'était le cas, je me raccroché à son petit chien Ziko, qui est adorable comme tout. 

J'avais un peu plus de mal avec l'oncle Yves à cause de son côté je rigole tout le temps et je lance des phrase inutiles et pas rigolotes mais ça fait rire que moi. Pour autant ce n'est pas un personnage détestable, il avait quand même de bonnes réactions. Jusqu'au jour où il a un geste très violent envers Ziko. A partir de ce moment je ne pouvais plus me le voire. Et j'ai dû fermer le livre tellement j'étais pas bien. 

Je me perdais dans les différentes descriptions de quelques fleurs et de plusieurs paysages. 

J'ai adoré découvrir le lieu préféré de Geneviève : Le Bois de la Mer, qui est une forêt de pins Maritimes, dès que le vent soufflait, cela imitait le son des vagues de l'océan. 

Cette lecture est tellement captivante, passionnante, remplit de retournements de situations, facile et agréable à lire que je l'ai emmené avec moi, pour continuer de la découvrir, dehors, sur un banc, même si le temps était très gris.