Fables

 

Auteur Jean de La Fontaine

Édition Le livre de poche

Genre Classique, Conte

Pages 542

Prix 3 euros

Année de parution 1971

Mon avis

Quand j'étais en primaire, j'avais étudié quelques fables de La Fontaine. Celle qui m'a le plus marqué et que j'ai souvent entendu était Le Corbeau et le Renard.

A la bibliothèque, je voulais un recueil de poésie mais je ne savais pas lequel. Plusieurs noms de poètes me disais quelque chose mais ça ne m'aidais pas. J'avais longuement hésité, pour finalement prendre les Fables. La raison de ce choix : j'étais totalement perdue et je n'avais aucune idée sur ce genre. Même si je connaissais certaines fables, j'étais persuadée qu'il y en avait une multitude que je ne connaissais pas.

J'aimais bien ce dessin, je le trouvais magnifique et il représente bien Le corbeau et le renard. Ça illustrait bien cette couverture.

J'étais contente de retrouver : La cigale et la fourmi, Le corbeau et le Renard, La grenouille qui se veut faire aussi grosse que le boeuf. 

J'ai eu des coup de coeur pour Le chêne et le roseau (dès ses premières lignes elle m'avait plu), Le singe et le dauphin, Les deux pigeons (je n'avais pas de mal à les imaginer, il y avait cette choses qui faisait qu'elle me plaisait beaucoup).

Il y avais une note en bas de page qui m'avais retenue, c'était celle pour le mot Zéphyrs "Se dit poétiquement des vents doux et agréables et de ceux qui viennent au printemps." (P.276)

Les notes complémentaires ne m'ont pas intéressé même si j'ai essayé d'en lire quelques-une. 

Ce livre était prenant et passionnant. Les textes était originaux et parfois rigolos. Du début, jusqu'à la fin, j'étais contente de découvrir toutes ces fables et je prenais toujours du plaisir quand je l'ouvrais à nouveau. Mais il était très difficile à lire car il y avait énormément de mots que je ne connais pas. A environ chaque ligne, se trouvait des notes et des définitions, ça me coupais la lecture, l'imagination et ça m'empêchais de me perdre totalement dans un texte.

Pour une prochaine fois, je pense que je choisirais entre Verlaine, Jacques Prévert et Victor Hugo.